LIBÉRER LA BOULANGE CROÛTE QUE CROÛTE PAIN À LA LIGNE !

Chez LIBERTÉ, Benoît Castel emprunt de savoir faire et de sensibilité, a pris le parti pris de montrer l’invisible, de décomplexer le laboratoire pâtissier et boulanger, si souvent caché ou exilé, réconciliant ainsi dans un espace ouvert, vente et fabrication, c’est sa vision de la liberté. C’est à la porcherie de Ménilmontant, dans cette boulangerie historique au plein cœur de ce vieux quartier d’artisans, sous un soleil éclatant que le déjeuner printanier de l’Amicale du Gras s’est déroulé dans les trois salles en enfilade avec de larges tables d’hôtes pour le confort des graleurs faisant bombance. La vitrine aux gâteaux pour la circonstance fut transformée en bar avec de beaux flacons offerts par les fidèles amis vignerons et brasseur : Domaine Breton, Domaine Minchin, Clos des fées, brasserie La Baleine pour rincer les gosiers assoiffés.

Des manges debout pour se poser aux coudes à coudes pour siroter et mordre à pleine dents le Prince de Paris tranché minute monté en pastrami entre deux tranche de pain du coin. Un jambon Noir de Bigorre tranché main par Jean Michel Coustalat. Aux manivelles des imposants fours historiques : Marc Brétillot et Didier Colly jouant au mécano de la générale façon Keaton. Vous l’aurez compris les graleurs sont venus chez LIBERTÉ dans une ambiance conviviale dans un espace transparent dédié au bonheur du partage pour le plaisir. Benoît Castel, ambassadeur du bon goût nous a pas privé dessert pour la bouche finale : de Lard Nouveau : une tarte à la crème passion chantilly coco chips de bacon au menu, un froufrou de légèreté glisse sur la langue et se désagrège en silence.
Liberté patisserie boulangerie